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Visual GazettO

21 février 2008

The GazettO . Vs . Tokio Hotel (sans source)

L'interview de The GazettE à propos de TH:

Journaliste : vous avez sans doute entendus parler du PHENOMENE (phénomène reste à voir.... ) Tokio Hotel et de leur succès fulgurant au Japon et dans toute l'europe avez-vous peur que leurs succes viène compromettre celui de The GazettE ?
RUKI: (rire) Je n'appellerai pas sa un phénomène il ne faut pas exagérer se sont des gamins qui s'amusent à faire hurler les filles, personnellement je n'aime pas leurs chansons je trouves qu'elles se ressemblent trop et le rythme est assez irrégulier, et même si ils ne le reconnaissent pas il se sont inspirés de beaucoup de groupes japonais tells que LUNA SEA et X JAPAN.
REITA: Ce à quoi ces gamins doivent leurs succès c'est surtout grâce a ce Billy et son frère...
AOI: Bill ! *Rire*
REITA: OUI enfin c'est la même chose en tout cas leur succès n'est que temporaire et on ne peut pas imaginer d'éventuelles Rivalités entre nous, c'est totalement impossible!
RUKI: se serait presque une insulte d'autant que je ne supporte pas l'allemand *éclat de rire général*
JOURNALISTE : Oui mais le groupe est vous le savez donc très solliciter au japon et fait déjà l'objet de bon nombre de réflexions et d'admiration venant des japonaises.
KAI : vous l'avez déjà dit *rire*
RUKI : honnêtement nous n'avons rien contre le groupe Tokio Hotel c'est juste que nous n'aimons pas êtres comparez à tout bouts de champs avec n'importe quels groupes de rock, et c'est vous le comprenez assez frustrant d'êtres comparez à ces adolescents...
REITA : c'est surtout frustrant d'êtres comparez à des gamins prétentieux qui se vantent d'êtres des pros et croient se pavanés sous les insignes du japon après avoir insulter un des plus grands chanteurs et guitariste de l'histoire du Jrock ... (Reita fait référence aux critiques que le groupe à récement porté à HIDE de X JAPAN lors d'une interview au japon) si ses gamins se trouvaient devant moi je ne me retiendrais pas de leurs mettrent une attka *raclée*
URUHA : je ne pense pas que se groupe ira très loin c'est vraiment grâce l'amour que porte ses jeunes filles aux membres et non à leurs musiques qu'ils ont réussis à ce faire connaîtrent ils sont trop superficiel il ne dégagent pas assez de leurs personnes j'ai une assez mauvaise image d'eux et je ne pense pas pouvoir m'entendre avec se genre de personne aussi bien artistiquement que socialement...
JOURNALISTE : AOI vous n'avez pas beaucoup parlez lors de cette interview, que pensez vous de se groupe ?
AOI : ma mère m'a toujours dit « si tu n'a rien de gentil à dire alors ne dit rien »...mais je suis du même avis que Reita et les autres je n'aime pas leurs style ils sont beaucoup trop prétentieux et je ne supporte pas la voie du chanteur...

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21 février 2008

Interview Ruki *my love*

Après la sortie de leur album STACKED RUBBISH au mois de juillet, les membres du groupe the GazettE ont fait une tournée nationale de grandes salles (hall). Ils ont rempli avec succès le Budôkan le 7 septembre. Après cela, ils ont pris une courte pause, puis ont débuté leur tournée européenne en octobre, suivie du live house tour Pulse Wigging to black 02, et ils sont toujours en mouvement. Cette fois, Ruki, le chanteur, a réussi à apparaître pour une interview personnelle après un long intervalle, lui étant difficile de trouver du temps libre dans son emploi du temps chargé. Il a parlé de ce qu'il a ressenti pendant la tournée d'été et de ce qu'il veut faire désormais.

Vous n'êtes pas apparu, en interview individuelle, depuis Zy No.29, qui avait été publié en juillet 2006. La dernière fois, vous étiez trempé de sang (rires).

Ruki : Cette fois-ci, je suis trempé d'eau (rires).

L'idée d'aller dans la mer venait de vous, Ruki. Pourquoi avoir pensé à cette mise en scène ?

Ruki : Comme c'est une interview individuelle, nous avons imaginé prendre des photos avec nos propres vêtements. J'ai donc pensé revenir en arrière et faire ce que je n'avais pas pu faire avec le groupe. Puis, j'ai pensé à quelque chose comme... Une femme à un enterrement (rires). Simplement, j'aime ce genre d'ambiance. Pour parler honnêtement, en ce moment, je suis très absorbé par l'ambiance japonaise.

L'ambiance japonaise ? C'est un peu inattendu ?

Ruki : Je pense que ça venait de l'image de Chizuru (NdR : chanson de leur album STACKED RUBBISH).

Je vois. Bien, maintenant, nous allons parler de la tournée de cet été, qui s'est terminée au Budôkan le 7 septembre. Avec le recul, quel est votre sentiment à ce sujet ?

Ruki : Hum, jusque là, je pensais aux fans et à comment faire nos concerts, mais à ce moment là, je ne pensais pas à ça. Je pense que nous avons été en mesure de commencer dans la meilleure position qui soit, pour ainsi dire, car nous avions acquis beaucoup d'expérience lors de nos concerts. De ce fait, j'ai pu vraiment concentrer mes sentiments sur les chansons.

Comme il s'agissait d'une tournée d'été, je suis sûr que vous avez été épuisés ? (NdR : la chaleur et l'humidité sont terribles au Japon, l'été)

Ruki : En fait, il faisait chaud pendant le concert, mais c'était à cause des costumes.

Alors ça faisait du bien de retrouver les vôtres ?

Ruki : Oui (rires). Il faisait chaud quelque soit le costume de toute façon, mais j'ai mis des vêtements plus épais, du coup j'avais encore plus chaud. Et les salles étaient assez anciennes, alors les loges étaient trop chaudes.

Vous avez fait le Budôkan le 7 septembre. La dernière fois que vous aviez fait le Budôkan, vous aviez beaucoup pleuré, mais cette fois-ci, il semblerait que vous étiez beaucoup plus tranquille ?

Ruki : La dernière fois, les gens autour de moi étaient très nerveux, et j'ai ressenti beaucoup de pression sur la façon d'aborder un tel lieu pour la première fois. Cette fois-ci, nous n'avons apporté aucun changement à la setlist, ni à notre apparence, nous n'avons rien rajouté, pour que je puisse le faire sans ressentir aucune pression. Je pense que nous avons pu faire ce concert comme nous en avons l'habitude.

La tranche d'âge du public était très large. J'ai vu un homme d'une cinquantaine d'année lever son poing en l'air (rires).

Ruki : Ah, nous recevons du courrier de fans d'un certain âge.

Que vous écrivent-ils ?

Ruki : "Je me rappelle du bon vieux temps où j'aimais CAROL." (NdR : groupe formé par Eikichi Yazawa) C'est un des courriers que j'ai reçus d'un fan (rires).

CAROL et the GazettE, c'est totalement différent (rires) !

Ruki : Oui, totalement (rires). Mais il continue en disant : "Je me souviens quand j'allais aux concerts de CAROL, et je suis très heureux à nouveau". Toutes sortes de gens semblent apprécier notre musique.

C'est une très belle histoire. La génération CAROL, c'est plutôt l'univers des années 40-50. Seul the GazettE a ces vieux fans, vous ne pensez pas ?

Ruki : Ouais. Je ne sais pas pourquoi. Je me demande où ils nous ont connus.

Ils leur est peut-être tout simplement arrivé d'écouter la musique de leurs filles ou de leurs fils et puis...

Ruki : Ils ont dû penser "C'est trop de la balle !" (rires)

21 février 2008

Interview avec le Groupie

Les deux concerts de samedi et dimanche sont vos premiers hors d’Asie. Etes-vous nerveux ?
Kai : Bien sûr que nous le sommes !

Vous avez récemment changer de nom de ‘Gazette’ à ‘The GazettE'. Pour quelle raison ?
Ruki : Ce n’est que pour des raisons visuelles. L’écriture de The GazettE est censée donner l’effet d’un logo à celui qui le voit.

Comment composez-vous vos chansons ?
Ruki : On compose d’abord la musique, puis on ajoute les paroles.

Quand débutera votre prochaine tournée européenne ? (tout le monde rit)
Ruki : Nous l’annoncerons la prochaine fois.
Kai : J’aimerais beaucoup jouer en Allemagne à nouveau.

Dans le groupe, qui écrit les paroles et où puise-t-il son inspiration ? Laquelle de vos chansons pourrait illustrer cette façon de faire ?
Ruki : (lève la main) J’écris les paroles. Je suis souvent inspiré par des choses tristes comme la guerre ou des assassinats, ce que j’entends aux informations. Une chanson qui exprime bien cette façon de faire est saraba, de l’album DISORDER par exemple. Mais elle fait plutôt allusion à la situation au Japon cependant.

Qu’est-ce qui influence votre musique ?
Aoi : Il n’y a pas de facteur spécifique. Cela dépend du goût des membres. Chacun ajoute ce qu’il aime.

Votre premier concert hors Asie se fait en Allemagne ? Y-a-t-il une raison à cela ?
Ruki : Il n’y a pas de raison particulière à cela.
Kai : Nous aimerions pouvoir jouer dans tous les pays du monde et montrer notre style à tout le monde.

Quels sont vos musiques et vos artistes favoris ?
Aoi : Avant que nous débutions The GazettE, nous aimions des groupes de la scène rock japonaise, comme par exemple X Japan ou Luna Sea.

Et y-a-t-il un artiste occidental que appréciez particulièrement ?
Ruki : (pense à quelque chose mais reste silencieux) (tout le monde rit)
Aoi : (d’une façon interrogative) Helloween ?

D’où vient le nom de ‘Gazette’, et que signifie-t-il ?
Ruki : ‘Gazette’ vient du mot ‘cassette’. On a juste changé la première lettre pour que ça sonne mieux. Le terme ‘cassette’ lui-même évoque le fait que nous ne faisons pas une musique très technique, mais que chaque instrument est joué par l’un de nous, et que nous écrivons nous-mêmes nos chansons. Pour faire simple, tout est fait main.

Comment vous êtes-vous connus ?
Ruki : Uruha, Reita et moi jouions dans le même groupe. Aoi et Kai dans un autre. Nous étions ‘rivaux’ en quelque sorte. Au début, nous avions un autre batteur, puis Kai nous a rejoints et nous avons formé ce groupe.

Etes-vous également amis dans le privé?
Ruki : En ce moment, nous n’avons presque plus de temps libre. Nous sommes toujours ensemble.
Aoi : On s’entend bien en tant qu’amis, mais quand il s’agit de musique, les disputes commencent.

Pourquoi faites-vous de la musique ?
Ruki : Pour moi-même, je n’ai pas d’autre moyen d’exprimer mes sentiments et pensées autrement qu’au travers de la musique et du chant.

Des groupes comme Dir en grey ou MUCC sont estampillés d’une image ‘visual kei’ ici. De quelle façon vous sentez vous connecté à ces groupes et au ‘visual kei’ en général ?
Uruha : Nous avons notre propre style et notre propre musique. Nous ne voulons pas être classés dans une catégorie et être comparés tout le temps.

Le slogan de votre dernière tournée au Japon était : ‘Nameless Liberty’. On retrouve également ces mots sur la couverture de votre album NIL. Ont-ils une signification particulière pour vous ?
Ruki : Ils signifient qu’un succès futur n’est jamais garanti pour nous ou pour les autres.

Avez-vous eu l’occasion de visiter Bonn ?
Kai : Malheureusement, nous n’avons pas eu le temps jusque maintenant de faire quelque chose en ville ou de faire du tourisme.
Aoi : Je me suis déjà baladé et suis allé visiter la maison de Beethoven.

De quelle façon votre look et votre style font partie de votre image ?
Ruki : Notre image vient de notre musique et de nos paroles. Le style, le maquillage, les fringues n’y sont pas spécialement liés. Nos tenues changent de single en single, de CD en CD.

Y-a-t-il quelque chose que vous souhaiteriez voir ou faire en Allemagne ?
Kai : Malheureusement, nous avons manqué la Coupe du Monde de Football... (tout le monde rit)
Aoi : L’année dernière, nous avons enregistré le vidéo clip du single Cassis en Autriche. Nous avons changé d’avion à Francfort. Déjà à ce moment, nous voulions visiter l’Allemagne.
Kai : Nous sommes très heureux d’être ici.

Vous êtes vous préparé d’une façon particulière pour vos concerts en Allemagne ? Y-a-t-il des différences importantes avec vos concerts au Japon ?
Ruki : Nous faisons nos concerts ici de la même façon qu’au Japon. Nous ne voulons pas faire de différence, mais montrer le même aspect du groupe aux fans allemands ou européens qu’aux fans Japonais.

Merci à The GazettE, Rock Identity, aux organisateurs de la convention AnimagiC, ainsi qu’à Laura Knoll pour les photos du concert.

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